Une fessée mémorable devant mes copines

Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans

J'étais très jeune. Ce jour-là, je m'étais amusé à relever les jupes de mes copines ce qui faisait rire tous les garçons du quartier. A mon étonnement, elles ne réagissaient pas et me laissaient faire. C'était un piège ! Ma mère observait la scène depuis la fenêtre de notre appartement. Mes copines, agacées par mon comportement, en avaient informé ma mère. Tout à coup, après avoir chuchoté quelque chose, elles sont parties en courant. Peu après, ma mère m'a appelé pour me dire de rentrer de suite. Je suis donc monté à notre appartement au 3ème étage sans me douter de quoi que ce soit. Les deux filles étaient déjà là, attendant dans le corridor.

"Qu'est-ce que tu as fait aux filles ?" m'a alors demandé ma mère. J'ai répondu "rien". L'ambiance était tendue. Elle m'a reposé une seconde fois la question. Même réponse. Après un long silence, elle m'a posé une dernière fois la question. Comme j'ai répondu de la même manière, elle m'a bien regardé dans les yeux et m'a ordonné d'un ton sévère : "baisse ta culotte !" J'étais terriblement gêné devant mes copines, mais je savais que si je refusais, elle me prendrait par les cheveux et que c'était elle qui le ferait. Après quelque hésitation, j'ai descendu mon short. "Allez !" m'a-t-elle crié.

J'ai descendu un peu ma culotte. "Plus bas !" Toujours en hésitant, je l'ai encore baissé un peu. "Encore plus bas !" J'avais honte, mais devant sa menace, je l'ai descendu jusqu'aux genoux. "Encore plus bas !" Finalement, je l'ai descendue complètement jusqu'aux pieds.

D'un pas énergique, ma mère est allée chercher un tabouret dans la cuisine. Sa détermination laissait prévoir le pire. Il y avait de l'électricité dans l'air. Mon c?ur commençait à battre plus fort, car je savais ce qui m'attendait....ou presque. Je sentais que les filles étaient impatientes de voir la suite et qu'elles se réjouissaient d'avoir leur revanche. Eh bien, elles allaient être comblées !

De retour, ma mère s'est assise sur le tabouret et me fit signe d'approcher en me disant ..."viens par ici !" Mes shorts et ma culotte aux pieds m'obligeaient à avancer à tout petits pas, ce qui m'a fait gagner un peu de temps. Sans doute que les filles auraient préféré que je me déplace plus vite afin que le spectacle commence de suite. Tandis que j'avançais tout doucement, il régnait un silence pesant, pas pour longtemps !

Arrivé enfin à sa hauteur, les choses sont allées très vite ! J'ai senti passer un bras derrière mon dos et d'un geste brusque ma mère m'a fait basculer par-dessus ses genoux. Ainsi, en un rien de temps, je me suis retrouvé allongé en équilibre sur sa jupe piquante. Elle me piquait d'autant plus qu'elle était mon seul point d'appui, ni mes mains ni mes pieds touchaient le sol. A ce moment, je ne me doutais pas que j'allais rester longtemps dans cette position avant de remettre pied à terre. Mais j'allais très vite comprendre que ce n'était pas seulement sa jupe qui allait piquer.

"J'ai horreur des menteurs " s'écria-t-elle et voilà que sa main de fer s'est mise à frapper mes fesses avec la régularité d'un métronome tandis qu'avec l'autre main, elle m'empêchait de bouger en me tenant à la hauteur des cuisses. Devant la pauissance des coups, je n'ai pas pu retenir longtemps mes larmes et très vite je me suis mis à hurler. Je crois que je n'ai jamais hurlé autant de ma vie.

Des fessées, j'en avais déjà reçues mais comme celle-là, jamais ! Je crois qu'elle devait frapper de toutes ses f o r c e s comme une hystérique. Il faut dire que j'avais souvent embêté ces filles et sans aucun doute que ma mère, excédée, voulait régler les comptes une fois pour toutes. Pendant que les coups redoublaient d'intensité à un rythme très soutenu et que mes fesses brûlaient de douleur, je voyais devant moi ces jupes que j'avais relevées. Je me souviens très bien, c'étaient des jupes plissées. Je me disais alors que j'étais en train de payer cher, très cher mon geste déplacé et que je ne méritais tout de même pas d'être humilié de la sorte. Il me semblait que cette fessée cuisante ne voulait plus prendre fin ce qui n'était évidemment pas pour déplaire à mes deux copines. Dans leur regard, je devinais un malin plaisir à assister à ce spectacle. Elles appréciaient sans doute que je devais subir cette humiliante punition devant elles, le regard fixé inlassablement sur mes fesses rouges.

Quand enfin je croyais la fessée terminée et alors que j'étais toujours allongé en équilibre sur les genoux comme entre marteau et enclume, le regard dirigé vers ces jupes que je n'allais plus jamais relever, elles ont profité de l'occasion pour expliquer en long et en large que j'avais encore fait telle et telle bêtise. La liste était longue. Je sentais déjà qu'on n'allait pas en rester là et que mon répit serait de courte durée ! Comme elles avaient visiblement envie que la fête continue, elles en ont évidemment rajouté. J'ai bien essayé de nier toutes ces déclarations en espérant qu'on mette enfin un terme à ce calvaire, en vain ! J'avais menti une fois, c'était une fois de trop. Et voilà, puisqu'on voulait régler les comptes une fois pour toutes, c'était reparti pour une nouvelle série à la plus grande joie des filles.

Cette fois, la main de fer s'écrasa littéralement sur mes fesses me faisant hurler encore plus fort. Enragée par ce qu'elle venait d'entendre, ma mère s'appliquait à bien appuyer et les coups, frappant mes fesses par séries à la même place, ce qui faisait encore plus mal. Il y avait belle lurette que je ne pensais même plus que j'étais couché sur une jupe qui me piquait car j'étais trop préoccupé par mes fesses en feu.

N'en pouvant plus, la limite du supportable étant dépassée depuis longtemps, j'ai pris le risque de les protéger d'une main. Mal m'en pris car ma mère avait horreur de ça ! J'allais oh combien regretter cette goutte qui avait fait déborder le vase ! Comment avais-je osé ? C'était comme si je contestais la punition qui m'était infligée. " Tu vas voir " s'écria-t-elle. D'un geste v i o l a n t, elle m'a replacé le bras devant, mes deux mains touchaient à nouveau presque le sol. Sans doute que les filles aussi n'avaient pas apprécié du tout que j'avais cherché à gâcher la fête en essayant de me soustraire un instant de la correction à laquelle j'étais condamné. Mais là, elles étaient immédiatement rassurées voyant que les choses étaient vite rentrées dans l'ordre et qu'il ne me restait plus qu'à subir le sort qui m'était réservé. J'étais désespéré !

Désormais, la correction allait virer au cauchemar. Cette tentative de défense visant à entraver le bon déroulement de ma punition avait rendu ma mère encore plus agressive si bien qu'elle s'acharnait d'autant plus. Sa détermination allait crescendo. Décidément, cet incident de parcours dû en somme à un réflexe de défense mais perçu comme un signe de révolte avait non seulement agacé tout le monde mais il avait très contrarié ma mère. Elle ne pouvait pas supporter ce manque de respect en présence des filles. La conséquence ne s'est pas faite attendre. La fessée était en train de prendre une autre dimension. Je sentais la pression monter. Les frappes devenaient plus sèches et moins espacées. Ca résonnait dans tout le corridor. Une amie habitant l'immeuble m'a dit plus tard qu'elle avait entendu dans la cage d'escaliers mes cris accompagnés de frappes ressemblant à des pétards d'un feu d'artifice. Les filles étaient ravies que ma mère ne rechigne pas devant l'effort et qu'elle maintienne inlassablement cette cadence infernale avec toute son énergie. Mes fesses étaient devenues une place de fête. La fête avait atteint son point culminant et elle allait durer longtemps. Combien de temps ? 10, 15 min ou plus ? Je ne sais plus mais elle me semblait interminable.

Maintenant que les comptes étaient réglés, je me suis retrouvé debout, mes shorts et ma culotte aux pieds. Très éprouvé, j'avais à peine la f o r c e de les relever. Quelques instants auparavant, je ne me serais pas douté que j'allais être rabaissé de la sorte devant des copines que je côtoyais tous les jours. Je n'étais pas fier de moi. Quelle humiliation !

Les filles sont reparties, visiblement satisfaites puisqu'elles avaient eu ce qu'elles voulaient non sans avoir bien contemplé mes fesses et après m'avoir lancé un dernier regard revanchard accompagné d'un petit sourire qui en disait long. Puis, j'ai dû aller dans ma chambre au lit où je suis resté un long moment couché sur le ventre en pleurant. J'allais retenir la leçon pour toujours ! Les jupes, j'allais désormais me contenter de les regarder.

Je me rappelle que mes fesses rouges m'ont fait mal pendant plusieurs jours. Mais ce qui m'a fait autant mal, se sont les sourires narquois de mes copines qui n'ont pas manqué de se moquer de moi à chaque fois qu'elles me voyaient et bien sûr, elles en ont informé tout le quartier si bien que j'ai eu droit à pas mal de commentaires. Le lendemain, l'amie qui s'était trouvée dans la cage d'escaliers et qui avait tout entendu m'a demandé de lui montrer mes fesses. Elle était impressionnée en les voyant me disant qu'elle n'avait jamais vu ça !

J'approche la cinquantaine. Si aujourd'hui encore, je demande à mes maîtresses de me fesser, cela provient sans aucun doute de ces souvenirs d'e n f a n c e qu'on ne peut plus oublier.

J'ai un profond regret dans cette histoire. Celui que j'ai malheureusement perdu de vue ces deux copines. J'espère qu'un jour je les rencontrerai. Alors, ce sera avec plaisir que l'on évoquera ensemble ce moment inoubliable tant pour elles que pour moi.

Philippe.

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